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    J'ai déjà évoqué le fait que les bords du Rhône se sont déconfinés dans leur état de liberté qui permet aux plantes sauvages de s'en donner à cœur joie. J'ai fait une petite sélection (oui, je n'ai pas tout photographié)

    Les plantes sauvages le long de la Voie Bleue (ViaRhôna)

         Coquelicots                              linaire                                 lysimaque commune

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  • Souvenirs le long des canaux,

     

    Un peu du printemps sans nous

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  • Faute de pouvoir en trouver en Ardèche nous sommes allés chercher des champignons dans la forêt domaniale de Chambaran, près de Grenoble,

     

    A la recherche des champignons dans la forêt de Chambaran

    Alors, oui, nous avons vu des champignons, mais peu de comestibles...

     

    A la recherche des champignons dans la forêt de Chambaran

    petit panel depuis l'amanite tue mouches, nombreuses, une lépiote et un bolet bleuissant

     

    A la recherche des champignons dans la forêt de Chambaran

    beaucoup d'amanites donc, toutes plus belles les unes que les autres,

     

    A la recherche des champignons dans la forêt de Chambaran

    beaucoup de champignons que nous  n'avons pas identifiés, comme ceux-ci sur une souche en train de finir leur vie. A droite une couche recouverte de mousse. Le charme de la forêt. 

     

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  • Samedi matin, si je suis allée aider au nettoyage des berges du Rhône, j'ai aussi fait des photos, pour le souvenir du moment, mais aussi des plantes rencontrées, et de la lône de Guilherand... Le résultat : j'ai constaté à nouveau la présence de la renouée du Japon, qui peu à peu étend son territoire,

    Des plantes invasives, encore, mais pas que...

    Ici le long du Mialan à son embouchure

    La renouée a pour particularité de pouvoir se reproduire par voie végétative, par les rhizomes ou par des bouts de tiges portés par le courant. Elle se développe au détriment des autres plantes. Alors, même si elle prend de belles couleurs à l'automne, il vaut mieux l'éradiquer lorsque c'est possible. Ah, oui, elle est comestible, on peut consommer les jeunes pousses cuites à l'eau.

    En cette période de l'année, les asters ont pris la place des autres plantes. Je pensais cette invasive moins problématique, mais il faut constater qu'elle est omniprésente,

    Des plantes invasives, encore, mais pas que...

    ici sur tous les bords de la lône

    Des plantes invasives, encore, mais pas que...

    la plupart des asters ont des petites fleurs blanches, mais il y en a aussi des bleu clair,à fleurs un plus grosses, et qui appartiendraient à une espèce endémique. 

    Originaires d'Amérique du Nord, ces asters blancs se reproduisent aussi de manière végétative et deviennent eux aussi invasifs, comme la vergerette annuelle. Ils sont considérés comme tels en Belgique, mais il semble que chez nous ce ne soit pas encore le cas.

    Mais.. j'ai trouvé samedi une autre variété de menthe,(*)

     

    Des plantes invasives, encore, mais pas que...

    il semble s'agir de menthe à feuilles rondes, ou menthe odorante, (Mentha suaveolens), ou encore menthe suave, menthe pomme (en jardinerie). J'ai vu aussi de la mélisse, mais ne l'ai pas photographiée.

     Cela m'a consolée de découvrir une espèce que je n'avais pas encore remarquée, preuve que les invasives n'ont pas encore détruit la biodiversité.

     

    (*) Que je ne l'ai trouvée que samedi dernier ne veut pas dire qu'elle n'a jamais été là avant, simplement je ne l'avais pas remarquée, n'ayant pas encore l’œil exercé....


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  • Côté ardéchois entre Guilherand et Soyons, poursuite  de ma recherche de la biodiversité au fil des saisons. L'été est bien installé, les fleurs de saison aussi, mais la chaleur et la sécheresse ont fait des dégâts,

     

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    ici, en contrebas de la digue, j'ai photographié des saponaires et une grande chicorée bleue, mais on voit bien qu'autour c'est plutôt sec.

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    détail des fleurs

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    ici des tanaisies, que l'on retrouve chaque année à cet endroit, mais aussi des onagres, que je n'avais encore jamais vus ici, et que j'ai retrouvés dans plusieurs endroits. 

     

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    La molène, ou bouillon blanc est présente chaque été, le solidago, moins.

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    Biodiversité le long de la voie bleue - au coeur de l'été

    la salicaire est présente partout, c'est même elle que l'on remarque le plus, mais l'eupatoire chanvrine est elle, moins courante ici, et je l'ai vue, aussi, en plusieurs endroits.

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